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Pollution Au Ciment À Abidjan: Des Cas De Maladies Et De Décès Enregistrés - Santé - Ivoireland

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Ministère De La Santé: Plus De 1600 Décès Par An Liés À La Tuberculose / Liberia: Un Second Cas D’Ebola Détecté Depuis Le Retour De L’épidémie / Distribution De Moustiquaires Par Le Dr. Antoine Méa Pour Combattre Le Paludisme (2) (3) (4)

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 26 avril à 13:09

Dans le quartier de France-Amérique à Treichville, une réalité quotidienne s'impose avec une force déconcertante : la pollution due à la fabrication du ciment par CIM IVOIRE. Depuis trois ans, les habitants endurent les conséquences néfastes de cette activité industrielle. Marie-Claude, l'une des résidentes, exprime leur souffrance avec amertume : "On souffre. On mange ciment. On boit ciment. On se lave avec ciment."

Conséquences sur la Santé et le Bien-Être


Les effets de cette pollution sont visibles à l’œil nu. Les murs, les toits des maisons, ainsi que les véhicules, sont recouverts d'une fine poussière de ciment. Mory T, un habitant du quartier, décrit avec précision la situation : "Quand vous lavez votre voiture, dans moins de 30 minutes, elle est couverte de ciment." Même les arbres environnants portent les stigmates de cette pollution, avec leurs troncs et feuilles blanchis par les dépôts de ciment.

Les habitants de France-Amérique ne subissent pas seulement une nuisance visuelle, mais aussi des impacts sur leur santé. Marie-Claude témoigne : "Il y a des enfants qui sont atteints d’asthme, certains sont anémiés. Une jeune femme a perdu son bébé de six mois. Il est décédé d’une infection pulmonaire." De nombreux résidents ont quitté le quartier, incapables de supporter davantage cette situation.

Les activités de CIM IVOIRE ont engendré un véritable exode dans le quartier, forçant de nombreuses familles à abandonner leur domicile. Malgré les pétitions et les appels à la délocalisation de l'usine, aucune action concrète n'a été entreprise jusqu'à présent.

Un Combat Continu


Les résidents de France-Amérique se battent depuis le début pour faire entendre leur voix. Sur les réseaux sociaux, ils ont lancé des appels à l'aide et des demandes de délocalisation de l'usine. Les autorités compétentes, notamment le Centre Ivoirien Antipollution (CIAPOL), ont été alertées à plusieurs reprises. Des recommandations ont été émises pour que des équipements anti-pollution soient installés, mais la situation persiste.

Le ministre de l'environnement et du développement durable ainsi que ses prédécesseurs ont visité le site de CIM IVOIRE, mais les mesures prises n'ont pas suffi à résoudre le problème. M. Kouadio, responsable de la communication au CIAPOL, assure que des actions seront entreprises si la pollution persiste. Cependant, il souligne les contraintes légales qui encadrent ce genre d'interventions.

Malgré les preuves tangibles de la pollution et les témoignages poignants des habitants, CIM IVOIRE n'a pas encore réagi. Les dirigeants de l'entreprise ont été absents lors de notre enquête, mais nous continuons nos démarches pour obtenir leur point de vue.

La pollution au ciment à Abidjan est un problème urgent qui nécessite une réponse immédiate des autorités compétentes et des entreprises concernées. Les habitants de France-Amérique méritent un environnement sain et sûr pour vivre. Leur combat pour la délocalisation de l'usine est légitime et doit être soutenu. Espérons que cette situation trouvera rapidement une résolution satisfaisante pour toutes les parties impliquées. Quelles mesures concrètes les autorités et les entreprises peuvent-elles prendre pour résoudre le problème de pollution au ciment à Abidjan et assurer la sécurité et le bien-être des résidents de France-Amérique ?

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Image de Santé. Dans le quartier de France-Amérique à Treichville, une réalité quotidienne s'impose avec une force déconcertante : la pollution due à la fabrication du ciment par CIM IVOIRE. Depuis trois ans, les habitants endurent les conséquences néfastes de cette activité industrielle. Marie-Claude, l'une des résidentes, exprime leur souffrance avec amertume : "On souffre. On mange ciment. On boit ciment. On se lave avec ciment." Conséquences sur la Santé et le Bien-Être Les effets de cette pollution sont visibles à l’œil nu. Les murs, les toits des maisons, ainsi que les véhicules, sont recouverts d'une fine poussière de ciment. Mory T, un habitant du quartier, décrit avec précision la situation : "Quand vous lavez votre voiture, dans moins de 30 minutes, elle est couverte de ciment." Même les arbres environnants portent les stigmates de cette pollution, avec leurs troncs et feuilles blanchis par les dépôts de ciment. Les habitants de France-Amérique ne subissent pas seulement une nuisance visuelle, mais aussi des impacts sur leur santé. Marie-Claude témoigne : "Il y a des enfants qui sont atteints d’asthme, certains sont anémiés. Une jeune femme a perdu son bébé de six mois. Il est décédé d’une infection pulmonaire." De nombreux résidents ont quitté le quartier, incapables de supporter davantage cette situation. Les activités de CIM IVOIRE ont engendré un véritable exode dans le quartier, forçant de nombreuses familles à abandonner leur domicile. Malgré les pétitions et les appels à la délocalisation de l'usine, aucune action concrète n'a été entreprise jusqu'à présent. Un Combat Continu Les résidents de France-Amérique se battent depuis le début pour faire entendre leur voix. Sur les réseaux sociaux, ils ont lancé des appels à l'aide et des demandes de délocalisation de l'usine. Les autorités compétentes, notamment le Centre Ivoirien Antipollution (CIAPOL), ont été alertées à plusieurs reprises. Des recommandations ont été émises pour que des équipements anti-pollution soient installés, mais la situation persiste. Le ministre de l'environnement et du développement durable ainsi que ses prédécesseurs ont visité le site de CIM IVOIRE, mais les mesures prises n'ont pas suffi à résoudre le problème. M. Kouadio, responsable de la communication au CIAPOL, assure que des actions seront entreprises si la pollution persiste. Cependant, il souligne les contraintes légales qui encadrent ce genre d'interventions. Malgré les preuves tangibles de la pollution et les témoignages poignants des habitants, CIM IVOIRE n'a pas encore réagi. Les dirigeants de l'entreprise ont été absents lors de notre enquête, mais nous continuons nos démarches pour obtenir leur point de vue. La pollution au ciment à Abidjan est un problème urgent qui nécessite une réponse immédiate des autorités compétentes et des entreprises concernées. Les habitants de France-Amérique méritent un environnement sain et sûr pour vivre. Leur combat pour la délocalisation de l'usine est légitime et doit être soutenu. Espérons que cette situation trouvera rapidement une résolution satisfaisante pour toutes les parties impliquées. Quelles mesures concrètes les autorités et les entreprises peuvent-elles prendre pour résoudre le problème de pollution au ciment à Abidjan et assurer la sécurité et le bien-être des résidents de France-Amérique ?

Deuxième Image de Santé. Dans le quartier de France-Amérique à Treichville, une réalité quotidienne s'impose avec une force déconcertante : la pollution due à la fabrication du ciment par CIM IVOIRE. Depuis trois ans, les habitants endurent les conséquences néfastes de cette activité industrielle. Marie-Claude, l'une des résidentes, exprime leur souffrance avec amertume : "On souffre. On mange ciment. On boit ciment. On se lave avec ciment." Conséquences sur la Santé et le Bien-Être Les effets de cette pollution sont visibles à l’œil nu. Les murs, les toits des maisons, ainsi que les véhicules, sont recouverts d'une fine poussière de ciment. Mory T, un habitant du quartier, décrit avec précision la situation : "Quand vous lavez votre voiture, dans moins de 30 minutes, elle est couverte de ciment." Même les arbres environnants portent les stigmates de cette pollution, avec leurs troncs et feuilles blanchis par les dépôts de ciment. Les habitants de France-Amérique ne subissent pas seulement une nuisance visuelle, mais aussi des impacts sur leur santé. Marie-Claude témoigne : "Il y a des enfants qui sont atteints d’asthme, certains sont anémiés. Une jeune femme a perdu son bébé de six mois. Il est décédé d’une infection pulmonaire." De nombreux résidents ont quitté le quartier, incapables de supporter davantage cette situation. Les activités de CIM IVOIRE ont engendré un véritable exode dans le quartier, forçant de nombreuses familles à abandonner leur domicile. Malgré les pétitions et les appels à la délocalisation de l'usine, aucune action concrète n'a été entreprise jusqu'à présent. Un Combat Continu Les résidents de France-Amérique se battent depuis le début pour faire entendre leur voix. Sur les réseaux sociaux, ils ont lancé des appels à l'aide et des demandes de délocalisation de l'usine. Les autorités compétentes, notamment le Centre Ivoirien Antipollution (CIAPOL), ont été alertées à plusieurs reprises. Des recommandations ont été émises pour que des équipements anti-pollution soient installés, mais la situation persiste. Le ministre de l'environnement et du développement durable ainsi que ses prédécesseurs ont visité le site de CIM IVOIRE, mais les mesures prises n'ont pas suffi à résoudre le problème. M. Kouadio, responsable de la communication au CIAPOL, assure que des actions seront entreprises si la pollution persiste. Cependant, il souligne les contraintes légales qui encadrent ce genre d'interventions. Malgré les preuves tangibles de la pollution et les témoignages poignants des habitants, CIM IVOIRE n'a pas encore réagi. Les dirigeants de l'entreprise ont été absents lors de notre enquête, mais nous continuons nos démarches pour obtenir leur point de vue. La pollution au ciment à Abidjan est un problème urgent qui nécessite une réponse immédiate des autorités compétentes et des entreprises concernées. Les habitants de France-Amérique méritent un environnement sain et sûr pour vivre. Leur combat pour la délocalisation de l'usine est légitime et doit être soutenu. Espérons que cette situation trouvera rapidement une résolution satisfaisante pour toutes les parties impliquées. Quelles mesures concrètes les autorités et les entreprises peuvent-elles prendre pour résoudre le problème de pollution au ciment à Abidjan et assurer la sécurité et le bien-être des résidents de France-Amérique ?

Troisième Image de Santé. Dans le quartier de France-Amérique à Treichville, une réalité quotidienne s'impose avec une force déconcertante : la pollution due à la fabrication du ciment par CIM IVOIRE. Depuis trois ans, les habitants endurent les conséquences néfastes de cette activité industrielle. Marie-Claude, l'une des résidentes, exprime leur souffrance avec amertume : "On souffre. On mange ciment. On boit ciment. On se lave avec ciment." Conséquences sur la Santé et le Bien-Être Les effets de cette pollution sont visibles à l’œil nu. Les murs, les toits des maisons, ainsi que les véhicules, sont recouverts d'une fine poussière de ciment. Mory T, un habitant du quartier, décrit avec précision la situation : "Quand vous lavez votre voiture, dans moins de 30 minutes, elle est couverte de ciment." Même les arbres environnants portent les stigmates de cette pollution, avec leurs troncs et feuilles blanchis par les dépôts de ciment. Les habitants de France-Amérique ne subissent pas seulement une nuisance visuelle, mais aussi des impacts sur leur santé. Marie-Claude témoigne : "Il y a des enfants qui sont atteints d’asthme, certains sont anémiés. Une jeune femme a perdu son bébé de six mois. Il est décédé d’une infection pulmonaire." De nombreux résidents ont quitté le quartier, incapables de supporter davantage cette situation. Les activités de CIM IVOIRE ont engendré un véritable exode dans le quartier, forçant de nombreuses familles à abandonner leur domicile. Malgré les pétitions et les appels à la délocalisation de l'usine, aucune action concrète n'a été entreprise jusqu'à présent. Un Combat Continu Les résidents de France-Amérique se battent depuis le début pour faire entendre leur voix. Sur les réseaux sociaux, ils ont lancé des appels à l'aide et des demandes de délocalisation de l'usine. Les autorités compétentes, notamment le Centre Ivoirien Antipollution (CIAPOL), ont été alertées à plusieurs reprises. Des recommandations ont été émises pour que des équipements anti-pollution soient installés, mais la situation persiste. Le ministre de l'environnement et du développement durable ainsi que ses prédécesseurs ont visité le site de CIM IVOIRE, mais les mesures prises n'ont pas suffi à résoudre le problème. M. Kouadio, responsable de la communication au CIAPOL, assure que des actions seront entreprises si la pollution persiste. Cependant, il souligne les contraintes légales qui encadrent ce genre d'interventions. Malgré les preuves tangibles de la pollution et les témoignages poignants des habitants, CIM IVOIRE n'a pas encore réagi. Les dirigeants de l'entreprise ont été absents lors de notre enquête, mais nous continuons nos démarches pour obtenir leur point de vue. La pollution au ciment à Abidjan est un problème urgent qui nécessite une réponse immédiate des autorités compétentes et des entreprises concernées. Les habitants de France-Amérique méritent un environnement sain et sûr pour vivre. Leur combat pour la délocalisation de l'usine est légitime et doit être soutenu. Espérons que cette situation trouvera rapidement une résolution satisfaisante pour toutes les parties impliquées. Quelles mesures concrètes les autorités et les entreprises peuvent-elles prendre pour résoudre le problème de pollution au ciment à Abidjan et assurer la sécurité et le bien-être des résidents de France-Amérique ?

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