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L'Artiste Ivoirienne Josey Défend La Victoire De La Côte d'Ivoire À La CAN 2023 - Célébrités - Ivoireland

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 27 août à 18:34

Face aux critiques incessantes qui ont suivi la victoire de la Côte d'Ivoire à la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2023, Josey, la célèbre chanteuse ivoirienne et compagne du footballeur Serey Dié, a pris la parole pour défendre son pays avec ferveur. Sa réaction, survenue lors d'un échange au Bénin avec l'artiste camerounaise Blanche Bailly, a relancé le débat autour de la légitimité de cette victoire et a mis en lumière les tensions persistantes entre les nations africaines concernant leurs performances sportives.

Des critiques persistantes malgré la victoire


Depuis que la Côte d'Ivoire a remporté la CAN 2023, des voix se sont élevées pour contester la légitimité de cette victoire, accusant les Éléphants d'avoir bénéficié de circonstances favorables. Ces critiques, portées par des fans et des commentateurs de différents pays africains, notamment du Cameroun, visent à minimiser l'exploit des Ivoiriens en insinuant qu'ils n'auraient pas mérité leur triomphe.

Lors d'une récente visite au Bénin, Josey, invitée pour un spectacle, s'est retrouvée au cœur de ce débat. Après son concert, elle a eu une conversation informelle avec Blanche Bailly, une artiste camerounaise bien connue, et un autre compatriote. Ce dernier a profité de l'occasion pour se moquer de la victoire ivoirienne à la CAN 2023, rappelant un épisode de 2015 où le Cameroun aurait soi-disant laissé la Côte d'Ivoire l'emporter. « En 2015, le Cameroun devait jouer contre la Côte d’Ivoire à Abidjan. Et si le Cameroun avait remporté le match, la Côte d’Ivoire n’aurait pas participé à la CAN en 2015 », a-t-il lancé avec une pointe de sarcasme.

Face à ces moqueries, Josey n’a pas tardé à réagir. Déposant calmement le verre qu’elle tenait, elle a pris la parole avec détermination, défendant avec vigueur la performance de son pays. « Tout ça ne nous a pas empêchés de remporter la CAN en 2024 », a-t-elle affirmé, rappelant que les critiques ne pouvaient en rien diminuer l'exploit réalisé par l'équipe nationale ivoirienne.

Josey a poursuivi en soulignant le ressentiment des Camerounais à l’égard de la victoire ivoirienne, qu'ils qualifient de "cadeau". « Notre CAN qu’on a gagnée fait tellement mal aux Camerounais. Ils disent qu’on nous a offert la CAN, qu’on ne peut pas bien jouer pour la remporter », a-t-elle ajouté, dénonçant ce qu'elle considère comme de la mauvaise foi de la part de ceux qui refusent de reconnaître le mérite de son pays.

Les propos de Josey mettent en lumière une rivalité sportive plus large entre les nations africaines, particulièrement entre la Côte d'Ivoire et le Cameroun, deux puissances du football africain. Depuis des décennies, ces deux nations se disputent les titres continentaux, chacun cherchant à s'imposer comme le véritable roi du football africain. Cette rivalité dépasse le cadre du terrain et se manifeste également dans les discours, les médias, et désormais, les échanges sur les réseaux sociaux.

En critiquant ouvertement les Camerounais et en prédisant qu'ils ne remporteront pas la CAN 2025 au Maroc, Josey s’inscrit dans une tradition de joutes verbales qui fait partie intégrante de la culture sportive en Afrique. « Vous avez tellement mal parce qu’on a remporté la CAN 2023. Mais sachez qu’on est devenu fort. On est plus fort que vous », a-t-elle affirmé, jetant ainsi le gant à ses adversaires.

La résonance des mots de Josey sur la scène médiatique


Les déclarations de Josey ont rapidement enflammé les réseaux sociaux et les médias africains. Ses fans et les supporters ivoiriens ont salué sa prise de position, la qualifiant de « courageuse » et de « nécessaire » face aux critiques injustes. « Merci Josey de défendre notre drapeau », pouvait-on lire dans certains commentaires. D’autres, plus critiques, ont accusé l’artiste de jouer avec le feu et de raviver des tensions inutiles entre les pays.

Cependant, il est clair que Josey n’a pas l’intention de rester silencieuse face aux attaques dirigées contre son pays. Sa réponse est perçue par beaucoup comme un acte de patriotisme, un rappel que la victoire de la Côte d'Ivoire à la CAN 2023 n'était pas le fruit du hasard mais bien d'une performance méritée.

Au-delà des querelles verbales, l’affaire met en lumière un enjeu de fierté nationale pour les Ivoiriens. La victoire à la CAN représente plus qu’un simple trophée ; elle est un symbole de réussite, de détermination et d’unité pour un pays qui a souvent été divisé. Pour Josey, comme pour de nombreux Ivoiriens, minimiser cette victoire est une insulte à l'effort collectif consenti par les joueurs, les entraîneurs, et les supporters.

La critique de la victoire ivoirienne soulève également des questions sur la reconnaissance internationale et le respect que les équipes africaines méritent. Les performances des équipes africaines sont souvent jugées avec des biais, et les exploits, souvent, ne sont pas reconnus à leur juste valeur. Josey, en prenant position, invite implicitement à une réflexion sur les préjugés et les stéréotypes qui entourent le football africain.

Alors que les échanges entre Josey et Blanche Bailly ont suscité des réactions contrastées, ils ont également ouvert la voie à une discussion plus large sur la manière dont les nations africaines peuvent gérer leurs rivalités sportives de manière constructive. Plutôt que de s’enliser dans des querelles stériles, ne serait-il pas plus productif de célébrer les succès de chaque nation comme une victoire pour tout le continent ?

Dans un monde où les divisions sont souvent exacerbées, le sport, et en particulier le football, a le potentiel de rassembler les peuples autour de valeurs communes de respect, de fair-play et de solidarité. La question reste ouverte : les artistes et les figures publiques comme Josey et Blanche Bailly peuvent-elles jouer un rôle pour apaiser les tensions et promouvoir une unité africaine au-delà des rivalités sportives ?

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Image de Célébrités. Face aux critiques incessantes qui ont suivi la victoire de la Côte d'Ivoire à la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2023, Josey, la célèbre chanteuse ivoirienne et compagne du footballeur Serey Dié, a pris la parole pour défendre son pays avec ferveur. Sa réaction, survenue lors d'un échange au Bénin avec l'artiste camerounaise Blanche Bailly, a relancé le débat autour de la légitimité de cette victoire et a mis en lumière les tensions persistantes entre les nations africaines concernant leurs performances sportives. Des critiques persistantes malgré la victoire Depuis que la Côte d'Ivoire a remporté la CAN 2023, des voix se sont élevées pour contester la légitimité de cette victoire, accusant les Éléphants d'avoir bénéficié de circonstances favorables. Ces critiques, portées par des fans et des commentateurs de différents pays africains, notamment du Cameroun, visent à minimiser l'exploit des Ivoiriens en insinuant qu'ils n'auraient pas mérité leur triomphe. Lors d'une récente visite au Bénin, Josey, invitée pour un spectacle, s'est retrouvée au cœur de ce débat. Après son concert, elle a eu une conversation informelle avec Blanche Bailly, une artiste camerounaise bien connue, et un autre compatriote. Ce dernier a profité de l'occasion pour se moquer de la victoire ivoirienne à la CAN 2023, rappelant un épisode de 2015 où le Cameroun aurait soi-disant laissé la Côte d'Ivoire l'emporter. « En 2015, le Cameroun devait jouer contre la Côte d’Ivoire à Abidjan. Et si le Cameroun avait remporté le match, la Côte d’Ivoire n’aurait pas participé à la CAN en 2015 », a-t-il lancé avec une pointe de sarcasme. Face à ces moqueries, Josey n’a pas tardé à réagir. Déposant calmement le verre qu’elle tenait, elle a pris la parole avec détermination, défendant avec vigueur la performance de son pays. « Tout ça ne nous a pas empêchés de remporter la CAN en 2024 », a-t-elle affirmé, rappelant que les critiques ne pouvaient en rien diminuer l'exploit réalisé par l'équipe nationale ivoirienne. Josey a poursuivi en soulignant le ressentiment des Camerounais à l’égard de la victoire ivoirienne, qu'ils qualifient de "cadeau". « Notre CAN qu’on a gagnée fait tellement mal aux Camerounais. Ils disent qu’on nous a offert la CAN, qu’on ne peut pas bien jouer pour la remporter », a-t-elle ajouté, dénonçant ce qu'elle considère comme de la mauvaise foi de la part de ceux qui refusent de reconnaître le mérite de son pays. Les propos de Josey mettent en lumière une rivalité sportive plus large entre les nations africaines, particulièrement entre la Côte d'Ivoire et le Cameroun, deux puissances du football africain. Depuis des décennies, ces deux nations se disputent les titres continentaux, chacun cherchant à s'imposer comme le véritable roi du football africain. Cette rivalité dépasse le cadre du terrain et se manifeste également dans les discours, les médias, et désormais, les échanges sur les réseaux sociaux. En critiquant ouvertement les Camerounais et en prédisant qu'ils ne remporteront pas la CAN 2025 au Maroc, Josey s’inscrit dans une tradition de joutes verbales qui fait partie intégrante de la culture sportive en Afrique. « Vous avez tellement mal parce qu’on a remporté la CAN 2023. Mais sachez qu’on est devenu fort. On est plus fort que vous », a-t-elle affirmé, jetant ainsi le gant à ses adversaires. La résonance des mots de Josey sur la scène médiatique Les déclarations de Josey ont rapidement enflammé les réseaux sociaux et les médias africains. Ses fans et les supporters ivoiriens ont salué sa prise de position, la qualifiant de « courageuse » et de « nécessaire » face aux critiques injustes. « Merci Josey de défendre notre drapeau », pouvait-on lire dans certains commentaires. D’autres, plus critiques, ont accusé l’artiste de jouer avec le feu et de raviver des tensions inutiles entre les pays. Cependant, il est clair que Josey n’a pas l’intention de rester silencieuse face aux attaques dirigées contre son pays. Sa réponse est perçue par beaucoup comme un acte de patriotisme, un rappel que la victoire de la Côte d'Ivoire à la CAN 2023 n'était pas le fruit du hasard mais bien d'une performance méritée. Au-delà des querelles verbales, l’affaire met en lumière un enjeu de fierté nationale pour les Ivoiriens. La victoire à la CAN représente plus qu’un simple trophée ; elle est un symbole de réussite, de détermination et d’unité pour un pays qui a souvent été divisé. Pour Josey, comme pour de nombreux Ivoiriens, minimiser cette victoire est une insulte à l'effort collectif consenti par les joueurs, les entraîneurs, et les supporters. La critique de la victoire ivoirienne soulève également des questions sur la reconnaissance internationale et le respect que les équipes africaines méritent. Les performances des équipes africaines sont souvent jugées avec des biais, et les exploits, souvent, ne sont pas reconnus à leur juste valeur. Josey, en prenant position, invite implicitement à une réflexion sur les préjugés et les stéréotypes qui entourent le football africain. Alors que les échanges entre Josey et Blanche Bailly ont suscité des réactions contrastées, ils ont également ouvert la voie à une discussion plus large sur la manière dont les nations africaines peuvent gérer leurs rivalités sportives de manière constructive. Plutôt que de s’enliser dans des querelles stériles, ne serait-il pas plus productif de célébrer les succès de chaque nation comme une victoire pour tout le continent ? Dans un monde où les divisions sont souvent exacerbées, le sport, et en particulier le football, a le potentiel de rassembler les peuples autour de valeurs communes de respect, de fair-play et de solidarité. La question reste ouverte : les artistes et les figures publiques comme Josey et Blanche Bailly peuvent-elles jouer un rôle pour apaiser les tensions et promouvoir une unité africaine au-delà des rivalités sportives ?

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Marie Paule Adje "Dans Une Joie Indescriptible" Depuis La Finale De La CAN 2023 / Voici Les Leçons Inspirantes De La CAN Côte d'Ivoire 2023 Selon Ariel Sheney / Molare Adresse Un Message Qui Invite Au Fair Play Durant La CAN 2023

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